Ordre du jour du conseil municipal

 

 

CONSEIL MUNICIPAL D’OTTAWA

Le mercredi 13 avril 2016

10 h

salle Andrew S. Haydon, 110, avenue Laurier Ouest

ORDRE DU JOUR 29

 

MOMENT DE RÉFLEXION  

 

HYMNE NATIONAL  

 

 

Conseiller K. Egli  

 

ANNONCES/ ACTIVITÉS CÉRÉMONIALES  

 

·          

Reconnaissance - Prix de bâtisseur de la Ville décerné par le maire

 

 

APPEL NOMINAL  

 

ADOPTION DE PROCÈS-VERBAUX  

 

Adoption du procès-verbal de la réunion ordinaire du 23 mars 2016.

 

 

DÉCLARATION DE CONFLITS D’INTÉRÊTS, Y COMPRIS CEUX DÉCOULANT DE RÉUNIONS ANTÉRIEURES  

 

COMMUNICATIONS  

 

Association des municipalités de l’Ontario (AMO) :

 

 

·          

Budget fédéral 2016

 

 

·          

Changements législatifs à la Loi de 1996 sur les élections municipales

 

 

·          

Rapport de l’AMO à ses municipalités membres – Point saillants de la réunion du conseil d’administration d’avril 2016

 

 

·          

Tableau de bord de 2016 portant sur l’infrastructure municipale– État actuel des programmes d’infrastructure provinciaux et fédéraux

 

 

Réponses à des demandes de renseignements:

·          

01-16 - Réserves de fonctionnement et d'immobilisations

 

ABSENCES 

 

Aucune absence n'a encore été signalée.

 

 

MOTION PORTANT PRÉSENTATION DE RAPPORTS 

 

(Conseillers R. Brockington et J. Leiper)

 

 

RAPPORTS DES COMITÉS 

 

 

RAPPORT NO 14 DU COMITÉ DE L’AGRICULTURE ET DES AFFAIRES RURALES

 

1.

MODIFICATION AU RÈGLEMENT DE ZONAGE – PARTIE DU 6069, CHEMIN FOURTH LINE

 

RECOMMANDATION DU COMITÉ
Que le Conseil approuve une modification au Règlement de zonage 2008-250 pour une partie du 6069, chemin Fourth Line, pour changer le zonage du zone agricole (AG) au zone agricole sous-zones 5 (AG5) afin d’interdire les utilisations résidentielles sur les terres agricoles conservées, comme le précise le document 2.

 

RAPPORT NO 11 DU COMITÉ DES SERVICES COMMUNAUTAIRES ET DE PROTECTION

 

2.

RÉVISION DES RÈGLEMENTS MUNICIPAUX SUR LES ANIMALERIES

 

RENSEIGNEMENTS SUR la réunion du comité

Délégations :  37 délégations avec la majorité contre les recommandations du personnel et de vouloir interdire immédiatement les ventes de chats et les chiens dans les 3 magasins qui existe au moment.

Débat :             Le Comité a passé 6 heures avec les présentations, délégations et discussion.

Comité consultatif : Aucune présentation ou mémorandum.

  Vote :             Le rapport est ADOPTÉE tel que modifié par une motion d'interdiction de transition de cinq ans (la motion est ADOPTÉE sur une division de sept voix affirmatives contre une voix négative). Deux autres motions ont été présentées et REJETÉES.

DIRECTIVES AU PERSONNEL

1.         Que le personnel vérifie avec les Services juridiques quels sont les pouvoirs que détient éventuellement la Ville en matière de réglementation des services de vente de chats et de chiens en ligne, si d’autres municipalités ont abordé ce problème et, le cas échéant, ce qu’elles ont fait.

2.         Que le personnel examine, en consultation avec les trois animaleries mentionnées dans le rapport qui vendent des chats et des chiens provenant de sources commerciales, la faisabilité d’exiger d’elles :

a)         qu’elles affichent dans leur établissement les renseignements concernant les éleveurs qui leur fournissent les chats et les chiens;

b)         qu’elles appliquent un délai obligatoire de 48 heures entre le moment où le client manifeste sa volonté d’acheter un chat ou un chien et la vente.

RECOMMANDATIONS DU COMITÉ, TELLES QUE MODIFIÉES
Que le Conseil :

1.         approuve les modifications à l'annexe 29 du Règlement sur les permis no 2002-189 (modifié) concernant les animaleries, comme décrites dans le présent rapport et dans le Document 1, visant à :

a.         limiter les sources de chats et de chiens offerts à la vente dans les animaleries autorisées, nouvelles ou existantes, autres que celles décrites dans la recommandation 1 b), aux refuges municipaux pour animaux, aux sociétés de protection des animaux, aux sociétés pour la prévention de la cruauté envers les animaux et aux organismes de sauvetage d'animaux;

b.        permettre aux trois animaleries autorisées qui vendent actuellement des chats et des chiens provenant d'établissements commerciaux de continuer à vendre des chats et des chiens provenant de ces établissements identifiés dans la recommandation 1 a) ainsi que ceux provenant d'établissements commerciaux qui sont inspectés annuellement par un agent autorisé en vertu de la Loi sur la Société de protection des animaux de l’Ontario ou de la Loi sur le bien-être et la sécurité de l'animal (Québec) qui a confirmé par écrit que les locaux de l'établissement commercial et les animaux qui s'y trouvent respectent les exigences de la loi concernée et que le propriétaire ou l'exploitant de l'établissement commercial ne fait pas l'objet d'une ordonnance en vigueur ou d'une condamnation en vertu de la loi concernée, tel que modifié par ce qui suit :

i.          que les trois animaleries nommées dans l’annexe A du document 1 du rapport du personnel sont tenues de mettre graduellement en œuvre un modèle d’adoption selon lequel ils ne vendent, ne gardent ou ne mettent en vente que des chats et des chiens provenant des refuges municipaux pour animaux, des sociétés de protection des animaux, des sociétés pour la prévention de la cruauté envers les animaux ou des organismes de sauvetage d’animaux, et ce, dans les cinq années suivant l’édiction des modifications proposées. Si une animalerie déménage, est vendue ou change autrement de propriétaire, un nouveau permis sera nécessaire et le modèle d’adoption entrera en vigueur immédiatement;
2.         délègue le pouvoir d’établir la version finale du règlement de modification requis et apporte des modifications mineures pour être conforme à l’intention du Conseil au directeur général, Services de protection et d'urgence, en consultation avec le greffier municipal et chef du contentieux, comme décrit dans le présent rapport.

 


RAPPORT NO 12 DU COMITÉ DES SERVICES COMMUNAUTAIRES ET DE PROTECTION

 

3.

RÉGLEMENTATION DES VÉHICULES DE LOCATION À LA VILLE D’OTTAWA – TAXIS, LIMOUSINES ET EXPLOITANTS DE TRANSPORT PRIVÉ

 

RENSEIGNEMENTS SUR la réunion du comité

Délégations :  48 délégations avec la majorité contre les recommandations du personnel

Débat :           Le Comité a passé deux jours sur ce point, avec des présentations, des délégations et discussion.

Comité consultatif : Comité consultatif sur l’accessibilité a déclaré qu'ils sont en accord généralement avec les recommandations du personnel en particulier celles relatives à l'accessibilité.

Vote :              Le rapport est ADOPTÉ tel que modifié par 12 motions. Deux autres motions on été présentées et REJETÉES.

 DIRECTIVES AU PERSONNEL

1.    Que le personnel de la Direction des services juridiques examine les questions de respect de la vie privée entourant l’installation d’une technologie d’enregistrement audio dans les véhicules des exploitants de transport privé (comme Uber) et rende compte de ses conclusions au Comité dans les six mois suivant l’adoption du nouveau règlement municipal.

2.    Que le personnel consulte les représentants d’Uber et indique au Conseil s’il est faisable d’établir une taxe d’accessibilité volontaire d’ici la date d’entrée en vigueur de la réglementation sur les exploitants de transport privé.

3.    Que le personnel indique, au cours de la première mise à jour verbale après la mise en œuvre du règlement municipal, s’il est faisable d’implanter à Ottawa un bouton d’urgence qui a été mis à l’essai dans les véhicules par un exploitant de transport privé et qui, lorsqu’il est actionné par le chauffeur ou par le passager, envoie une alerte directement au service de police local.

4.    Que le personnel présente une mise à jour verbale trois mois après l’adoption du nouveau règlement municipal.

5.    Que le président du Comité des services communautaires et de protection envoie une lettre à Uber lui demandant de cesser ses activités d’ici l’entrée en vigueur du règlement municipal, le 30 septembre 2016, et lui demandant d’indiquer comment il prévoit de se conformer aux dispositions sur les assurances prévues par le nouveau règlement.

 

  RECOMMANDATIONS DU COMITÉ, TELLES QUE MODIFIÉES

Que le Conseil :

1.            prenne acte du rapport de KMPG intitulé « Examen de la réglementation et des services de taxi et de limousine pour la Ville d’Ottawa » (document 1 ci-joint), cité dans le présent rapport;

2.            approuve le nouveau règlement sur les exploitants de transport privé, pour entrée en vigueur le 30 septembre 2016, tel qu’il est présenté dans le présent rapport et en tant que projet de règlement ci-joint (document 2, tel que modifié), ce nouveau règlement visant :

a.            à imposer des frais de permis, soit 0,11 $ par course et des frais annuels en fonction de la taille de l’exploitant :

i.          entre 1 et 24 véhicules affiliés : 807 $;

ii.         entre 25 et 99 véhicules affiliés : 2 469 $;

iii.        100 véhicules affiliés ou plus : 7 253 $;

b.            à obliger les exploitants de transport privé à souscrire une assurance responsabilité civile et une assurance automobile responsabilité civile des non-propriétaires d’au moins cinq millions de dollars chacune et à obliger les chauffeurs affiliés à un exploitant de transport à souscrire une assurance automobile adéquate pour les chauffeurs à temps partiel offrant des services de transport contre rémunération;

c.            à obliger les chauffeurs à fournir à l’exploitant une preuve de vérification des antécédents annuelle en vue d’un travail auprès de personnes vulnérables, un relevé du dossier de conduite et le certificat de sécurité du véhicule du ministère des Transports;

d.            à exiger que les véhicules aient au plus 10 ans, et que les véhicules de plus de cinq ans fassent l’objet d’une inspection semestrielle;

e.            à n’autoriser que les courses réservées à l’aide d’une application;

i.          à interdire de prendre des passagers sur la rue;

ii.         à interdire l’utilisation des stations de taxis;

f.              à déléguer au Directeur général, Services de protection et d’urgence, de concert avec le greffier municipal et chef du contentieux, l’autorité de négocier, de conclure et d’instaurer des frais supplémentaires volontaires pour financer le fonds de réserve pour les services accessibles dont il est question dans le présent rapport;

g.            à donner au Directeur général, Services de protection et d’urgence le mandat de travailler avec l’Unité des services et de l’accessibilité, le Comité consultatif sur l’accessibilité, Para Transpo et d’autres intervenants internes et externes à l’élaboration d’une stratégie sur l’utilisation des fonds générés par la nouvelle taxe d’accessibilité pour financer certains programmes de transport accessible, notamment l’amélioration du Programme de coupon de taxi, et finalement recommander une approche au Comité et au Conseil; et

                                                                  i.            que le directeur général, Services de protection et d’urgence reçoive le mandat de créer un comité directeur pour ces consultations, lequel sera composé notamment du président et d’un autre membre du Comité consultatif sur l’accessibilité, ainsi que du conseiller Qadri, qui agira à titre de liaison avec le Conseil;

                                                                ii.            que, si le comité directeur ou les consultations permettent de conclure qu’il faut que des lois provinciales, y compris la Loi de 2005 sur l’accessibilité pour les personnes handicapées de l’Ontario, soient modifiées pour améliorer l’accessibilité des exploitants de transport privé, le plan de travail du Comité consultatif sur l’accessibilité soit modifié pour y inclure ces questions, qui sont prévues par la réglementation municipale sur les véhicules de location.

h.            à exiger que les exploitants de transport privé respectent les exigences administratives et les exigences d’application du règlement municipal présentées dans le présent rapport, tel que modifié par ce qui suit :

                                                                  i.            approuve les modifications au document 2, sur les exploitants de transport privé, afin de donner à l’inspecteur en chef des permis le même pouvoir de suspension temporaire des permis d’exploitant de transport privé, comme aux articles 113 à 115 du Règlement sur les taxis, soit :

a)            le pouvoir de suspendre un permis en cas d’urgences, notamment si le titulaire de permis commet une infraction au règlement municipal, si les activités d’une entreprise sont contraires à l’intérêt du public et si l’assurance du titulaire est venue à échéance;

b)           l’obligation de remettre un avis au titulaire avant la suspension et de lui permettre d’y répondre;

c)            le pouvoir de suspendre le permis au plus 14 jours;

d)           le pouvoir d’interdire au titulaire de permis d’exploiter son entreprise durant la période de suspension.

                                                                ii.            que tout exploitant de transport privé soit tenu de fournir à l’inspecteur en chef des permis une liste à jour de renseignements sur chacun de ses chauffeurs, notamment son nom, son adresse, la confirmation qu’il a souscrit une assurance, subi une vérification du casier judiciaire et détient un bon dossier de conduite, la marque, le modèle et l’année de son véhicule ainsi que le numéro de la plaque d’immatriculation, y compris tout changement à la liste se rapportant aux questions de conformité aux règlements, dans le format prescrit par la Ville, au plus tard deux semaines avant la date d’entrée en vigueur du nouveau règlement proposé et tous les trois mois après la date d’entrée en vigueur du règlement municipal ou selon un calendrier fourni par l’inspecteur en chef des permis, et que soit ajoutée dans le règlement municipal une infraction adéquate en cas de non-conformité à cette exigence;  

                                                               iii.            que si un exploitant de transport privé omet de fournir la liste mentionnée dans la présente motion après avoir reçu un avis de l’inspecteur en chef des permis et avoir eu l’occasion d’y répondre, comme le prévoit la Loi de 2001 sur les municipalités, l’inspecteur en chef des permis soit habilité à suspendre sommairement le permis de l’exploitant pour une période d’au plus 14 jours, jusqu’à ce que la liste soit fournie à la satisfaction de la Ville, et que l’inspecteur en chef des permis soit habilité à prendre des mesures coercitives pour les infractions susmentionnées, ce qui peut comprendre, en plus des amendes fixes, une amende minimale de 500 $ et maximale de
100 000 $ si l’exploitant est reconnu coupable d’une infraction;

                                                               iv.            demande au personnel de présenter un rapport de conformité des exploitants de transport privé :

a)            contenant des renseignements sur la conformité ou la non-conformité d’un exploitant de transport privé aux exigences du nouveau règlement municipal, notamment des renseignements sur les mesures d’application et les résultats;

b)           présentant les progrès des engagements en matière d’accessibilité approuvés par le Conseil pour la catégorie des exploitants de transport privé;

c)            à titre d’information distribuée au Comité des services communautaires et de protection tous les six mois dans la première année suivant la date d’entrée en vigueur du nouveau règlement municipal proposé et tous les ans après la première année d’application du règlement municipal;

                                                                v.            approuve que le sous-alinéa 12(d)(iv) du document 2 joint au rapport du personnel, qui concerne le règlement proposé pour les exploitants de transport privé, soit modifié de sorte que l’emplacement de référence soit restreint à l’intersection la plus proche ou aux trois premiers chiffres du code postal;

                                                               vi.            mandate le greffier municipal et chef du contentieux pour demander à l’Agence du revenu du Canada de réviser les obligations des exploitants de transport privé et de leurs chauffeurs affiliés en ce qui concerne la perception et le versement de la TVH en Ontario, et réponde officiellement à la demande de la Ville d’Ottawa en lui transmettant toute exigence et tout processus connexes, s’il y a lieu;

a)            que le greffier municipal et chef du contentieux rende compte de la réponse de l’Agence du revenu du Canada au Comité et au Conseil;

3.            approuve, sous réserve de l’approbation de la recommandation no 2, les modifications au Règlement sur les taxis (2012-258, dans sa version modifiée) présentées dans le présent rapport et dans les instructions de rédaction (document 3 ci-joint, tel que modifié), pour entrée en vigueur le 30 septembre 2016, lesquelles modifications consistent à :

a.            réduire les frais de permis des chauffeurs de taxi standard de 170 $ à 96 $;

b.            abolir les frais de permis pour les chauffeurs de taxi accessible;

c.            abolir l’exigence de suivre le Programme de formation des chauffeurs de taxi et la formation d’appoint (tout en conservant le cours de formation de taxi accessible);

d.            abolir l’obligation de porter un uniforme et de disposer d’un plan des rues;

e.            autoriser les tarifs inférieurs à ceux prescrits dans le règlement municipal pour les courses réservées à l’aide d’une application, tel que modifié par ce qui suit :

                                                                  i.            autorise l’ajustement des tarifs en fonction du service et du type de véhicule retenus, notamment par l’application de frais supplémentaires au coût maximum de 15 $, et à instaurer des frais de 5 $ en cas d’annulation après l’arrivée du taxi, pourvu que le client soit informé des frais supplémentaires avant d’accepter le service et qu’il ait l’occasion de refuser;

                                                                ii.            que les frais supplémentaires susmentionnés ne doivent pas s’appliquer aux personnes nécessitant un véhicule accessible pour y transporter un fauteuil roulant, une aide à la mobilité ou un appareil fonctionnel;

f.             abolir les frais de 1,50 $ pour les paiements par carte de crédit;

g.            éliminer les normes concernant la taille de l’habitacle et du coffre, le nombre de sièges et les vitres teintées;

h.            augmenter l’âge maximal des véhicules de 8 à 10 ans, et déléguer à l’inspecteur en chef des permis le pouvoir d’interdire un véhicule dans l’intérêt de la sécurité publique;

i.              modifier les exigences quant aux caméras dans les véhicules afin de préciser des normes minimales plutôt que d’imposer des marques ou des modèles précis;

j.              agrandir le secteur réglementé pour englober l’ensemble de la ville d’Ottawa;

k.            faire passer le ratio de plaques par habitant de 1:784 à 1:806;

l.              relever l’exigence en matière d’assurance pour la faire passer d’une assurance responsabilité civile de deux millions de dollars à une assurance responsabilité automobile de cinq millions de dollars pour les détenteurs de plaques (couvrant tous les chauffeurs qui conduisent un taxi), et instaurer une exigence semblable pour les agents de taxi;

m.          intégrer les modifications mineures et les modifications techniques présentées dans le document 3;

4.            approuve, sous réserve de l’approbation de la recommandation no 2, les modifications à l’annexe 10 sur les services de limousine du Règlement harmonisé sur les permis (2002-189, dans sa version modifiée), présentées dans le présent rapport et dans les instructions de rédaction (document 4 ci-joint, tel que modifié), pour entrée en vigueur le 30 septembre 2016, lesquelles modifications consistent à :

a.            créer une catégorie de services auxiliaires pour les autres modèles de service, comme les services d’aide spéciale pour les aînés et les services de raccompagnement;

b.            établir à 10 ans l’âge maximal des véhicules et exiger la tenue d’une inspection semestrielle pour ceux de plus de cinq ans, sauf pour les véhicules d’époque;

c.            préciser la définition de « limousine » et redéfinir les caractéristiques des véhicules pour s’assurer qu’il s’agit de véhicules « de luxe » et qu’on les distingue des autres véhicules de location;

d.            exiger une assurance responsabilité civile et une assurance responsabilité automobile d’au moins cinq millions de dollars;

e.            obliger les chauffeurs de limousine à subir une vérification des antécédents en vue d’un travail auprès de personnes vulnérables, qui doit être coordonné par l’exploitant de services de limousine, et à présenter un relevé du dossier de conduite acceptable chaque année;

f.             augmenter le tarif minimal, qui est de 67,50 $ pour les 90 premières minutes et de 45 $ pour chaque heure supplémentaire, à 75 $ et 50 $ respectivement, hors TVH;

g.            intégrer les modifications mineures et les modifications techniques présentées dans le document 4, tel que modifié par ce qui suit :

                                                                  i.        approuve les modifications au document 4, sur les fournisseurs de services de limousine, afin de donner à l’inspecteur en chef des permis le même pouvoir de suspension temporaire des permis d’exploitant de transport privé et de fournisseurs de services de limousines, comme aux articles 113 à 115 du Règlement sur les taxis, soit :

a)            le pouvoir de suspendre un permis en cas d’urgences, notamment si le titulaire de permis commet une infraction au règlement municipal, si les activités d’une entreprise sont contraires à l’intérêt du public et si l’assurance du titulaire est venue à échéance;

b)           l’obligation de remettre un avis au titulaire avant la suspension et de lui permettre d’y répondre;

c)            le pouvoir de suspendre le permis au plus 14 jours;

d)           le pouvoir d’interdire au titulaire de permis d’exploiter son entreprise durant la période de suspension.

5.            demande à la province d’approuver les modifications législatives visant à :

a.            établir des pouvoirs d’exécution supplémentaires et modifier les pénalités fiscales des règlements municipaux sur les véhicules de location, conformément au Code de la route, de sorte que les agents d’application des règlements municipaux et provinciaux puissent :

i.          refuser une plaque d’immatriculation en cas d’infraction non résolue;

ii.         augmenter les amendes (minimum 500 $, maximum 30 000 $);

iii.        déduire trois points d’inaptitude en cas d’infraction;

iv.        suspendre le permis;

b.            donner à la Ville d’Ottawa (par la Loi de 1999 sur la ville d’Ottawa ou la Loi de 2001 sur les municipalités) le pouvoir de fixer et de percevoir, dans le cadre d’un règlement sur les véhicules de location, une taxe d’accessibilité pour les exploitants de transport privé qui n’offrent pas de services accessibles répondant aux normes de la Ville, afin de promouvoir et de favoriser l’accessibilité des services de transport;

c.            modifier la Loi de 2005 sur l’accessibilité pour les personnes handicapées de l’Ontario afin qu’elle vise les exploitants de transport privé et prévoie la taxe d’accessibilité dont il est question à la recommandation 5 b), afin que les exploitants de transport privé soient soumis à des exigences adéquates sur l’accessibilité des transports et afin de contribuer à l’équité de l’industrie du taxi et du taxi accessible, comme le prévoient déjà la Loi et ses règlements;

6.            délègue au Directeur général, Services de protection et d’urgence et au greffier municipal et chef du contentieux le pouvoir de combiner et modifier les règlements dont il est question aux recommandations no 2, 3 et 4 pour former un règlement municipal unique sur les véhicules de location, de parachever le règlement et d’y apporter les modifications nécessaires conformément à la volonté du Conseil, tel que modifié par ce qui suit :

a.            approuve la modification des exigences relatives au Certificat de sécurité qui s’appliquent à tous les types de véhicules de location, notamment la recommandation 2 et le document 2, sur les exploitants de transport privé et leurs chauffeurs affiliés; la recommandation 3 et le document 3, sur les agents de taxi et les détenteurs de plaque de taxi (qui comprennent les chauffeurs de taxi); ainsi que la recommandation 4 et le document 4, sur les fournisseurs de services de limousine; afin de permettre l’utilisation d’autres processus de vérification de la sécurité des véhicules, pourvu que ces processus soient autorisés par l’inspecteur en chef des permis;

b.            que soient modifiées les exigences en matière d’assurance pour tous les types de véhicules de location, particulièrement à la recommandation 2.b. et dans le document 2, en ce qui a trait aux exploitants de transport privés et aux chauffeurs qui leur sont affiliés; à la recommandation 3.l. et dans le document 3, en ce qui a trait aux agents de taxi et aux détenteurs de plaques de taxi (ce qui comprend les chauffeurs de taxi); et à la recommandation 4.6. et dans le document 4, en ce qui a trait aux fournisseurs de services de limousine, afin que les chauffeurs ou les titulaires de permis, selon le cas, puissent souscrire une assurance autre, mais équivalente, à la satisfaction du greffier municipal et chef du contentieux;

c.            que soit modifiée l’exigence en matière d’assurance pour les chauffeurs affiliés à un exploitant de transport privé dans le document 2 par l’ajout d’une disposition prévoyant que les avenants ou les assurances responsabilité civile automobile équivalents et approuvés par la Commission des services financiers de l’Ontario pour les services offerts par les exploitants de transport privé puisse être souscrits, sous réserve de l’approbation du greffier municipal et chef du contentieux, mais également que cette assurance soit maintenue par les exploitants de transport privé ou les chauffeurs leur étant affiliés, ou les deux, pourvu que, si un chauffeur affilié omet de souscrire l’assurance requise ou si la police tombe en déchéance, celle-ci soit maintenue par l’exploitant de transport privé;

7.            mandate l’inspecteur en chef des permis pour examiner quelles mesures liées à la délivrance de permis la Ville pourrait utiliser pour encourager les exploitants de transport privé et les fournisseurs de services de limousines à utiliser des véhicules hybrides, électriques ou à faibles émissions, et de rendre compte de ses conclusions dans le premier rapport annuel sur le règlement municipal sur les véhicules de location.

 


 

RAPPORT NO 13 DU COMITÉ DES FINANCES ET DU DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE

 

4.

DEMANDE DANS LE CADRE DU PROGRAMME DE SUBVENTION POUR LES FRICHES INDUSTRIELLES – 175, RUE MAIN

 

RECOMMANDATIONS DU COMITÉ
Que le Conseil :
1.         Approuve la demande de participation au Programme de subvention pour la mise en valeur des friches industrielles et au Programme de réduction des redevances d’aménagement présentée par 175 Main Street Regional Inc., propriétaire du bien-fonds situé au 175, rue Main, relativement à une subvention dans le cadre du Plan d’amélioration communautaire pour le réaménagement des friches industrielles de 2010 d’un montant maximal de 15 811 365 $, sous réserve de la conclusion d’une entente de subvention pour la mise en valeur des friches industrielles, et conformément à ses modalités;
2.         Approuve un calendrier de versement de la subvention suivant les étapes de l’aménagement et prévoyant une période de 10 ans pour chaque étape, conformément aux modalités du Plan d’amélioration communautaire pour le réaménagement des friches industrielles de 2015;
3.         Dispense le réaménagement proposé du 175, rue Main, du versement de toute redevance d’aménagement municipale future jusqu’à concurrence de 12 132 830 $, conformément au paragraphe 7 (t) du Règlement 2014-229 sur les redevances d’aménagement  et aux lignes directrices en matière de réduction des redevances d’aménagement à cause de la contamination de l’emplacement, approuvées par le Conseil le 11 juin 2014, et fasse en sorte que cette dispense soit incluse dans la demande de subvention de 15 811 365 $, tel qu’il est précisé à la recommandation 1.
4.         Délègue au directeur général, Urbanisme et Gestion de la croissance, le pouvoir de conclure une entente de subvention pour le réaménagement des friches industrielles avec 175 Main Street Regional Inc.; cette entente établira les modalités relatives au versement d’une subvention permettant le réaménagement du 175, rue Main, à la satisfaction du directeur général, Urbanisme et Gestion de la croissance, du greffier municipal et chef du contentieux, et de la trésorière municipale

 

5.

DEMANDE DANS LE CADRE DU PROGRAMME DE SUBVENTION POUR LES FRICHES INDUSTRIELLES – 2012, CHEMIN OGILVIE

 

RECOMMANDATIONS DU COMITÉ
Que le Conseil :
1.         Approuve la demande de subvention pour la mise en valeur des friches industrielles et de réduction des redevances d’aménagement présentée par Lawrence Soloway, Desjardins Fin Sec Assurance et Riotrin Shoppers City East Inc., propriétaires du bien-fonds situé au 2012, chemin Ogilvie, une subvention qui serait versée en vertu du Plan d’améliorations communautaires de 2010 pour le réaménagement des friches industrielles n’excédant pas 4 555 417 $ sur une période maximale de dix ans, sous réserve de l’adoption des modalités de l’Entente de subvention pour la remise en valeur des friches industrielles, et conformément à celles-ci;
2.         Délègue au Directeur général du service de l’Urbanisme et de la gestion de la croissance le pouvoir d’exécuter l’Entente de subvention pour la remise en valeur de friches industrielles conclue avec Lawrence Soloway, Desjardins Fin Sec Assurance et Riotrin Shoppers City East Inc., qui établit les modalités relatives au versement de la subvention permettant le réaménagement de la propriété située au  2012, chemin Ogilvie, et ce, à la satisfaction du directeur général, Urbanisme et Gestion de la croissance, du greffier municipal et chef du contentieux et de la trésorière municipale;
3.         Dispense le réaménagement proposé au 2012, chemin Ogilvie du versement de toute redevance d’aménagement municipale future jusqu’à concurrence de 3 493 068 $ en vertu de l’article 7(t) du Règlement sur les redevances d’aménagement 2014-229, conformément aux lignes directrices du Programme de réduction des redevances d’aménagement en raison de la contamination de l’emplacement, approuvées par le Conseil le 11 juin 2014 et de faire en sorte que cette exemption soit incluse dans la demande de subvention de 4 555 417 $, comme il est précisé à la recommandation 1.

 


 

6.

PATINOIRE EXTÉRIEURE COUVERTE RÉFRIGÉRÉE DU CENTRE COMMUNAUTAIRE CANTERBURY ET PRÉLÈVEMENT SPÉCIAL

 

RECOMMANDATIONS DU COMITÉ
Que le Conseil:
1.         Approuve le modèle de financement, le plan de conception et l’aménagement de la patinoire extérieure couverte réfrigérée du Centre communautaire Canterbury, telle que décrite dans le présent rapport;
2.         Délègue à la trésorière municipale à fixer un prélèvement spécial et un calendrier des paiements adéquats pour le projet et à présenter le règlement de mise en œuvre nécessaire au Conseil;
3.         Délègue au directeur général, Service des parcs, des loisirs et de la culture, à conclure des accords de contribution avec les partenaires communautaires;
4.         Délègue au directeur général, Service des parcs, des loisirs et de la culture, à conclure et à signer des ententes avec les possibles commanditaires, et à faire en sorte que les commandites soient utilisées pour le projet d’immobilisations, tel que décrit dans le présent rapport.

 


 

RAPPORT NO 13 DU COMITÉ DES TRANSPORTS

 

7.

EXAMEN DES OUTILS DE TARIFICATION DE LA CONGESTION

 

RECOMMANDATION DU COMITÉ, TELLE QUE MODIFIÉE

Que le Conseil charge le personnel d’inclure, dans l’énoncé des travaux pour la prochaine révision du Plan directeur des transports, des plans pour une étude sur les causes de la congestion à Ottawa ainsi que des solutions possibles pour la réduire, conformément aux objectifs que le Conseil a approuvés à cet égard.

 

ORDRE DU JOUR POUR APPROBATION EN BLOC RÉVISÉ

 

 

RAPPORT NO 13 DU COMITÉ DES FINANCES ET DU DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE

 

A.

NOMINATIONS AU CONSEIL DE GESTION DE LA ZONE D’AMÉLIORATION COMMERCIALE DE WESTBORO

 

RECOMMANDATION DU COMITÉ
Que le Conseil municipal approuve les nominations de Don Cogan, Mary Anne Petrella et Sheba Schmidt au conseil de gestion de la Zone d’amélioration commerciale de Westboro pour un mandat prenant fin le 30 novembre 2018.

 

B.

RAPPORT DE 2015 ANNUEL SUR LA GESTION DE L’INFORMATION ET MODIFICATIONS AU RÈGLEMENT 2003-527 SUR LA CONSERVATION ET LE DÉCLASSEMENT DES DOSSIERS

 

RECOMMANDATION DU COMITÉ
Que le Conseil prenne connaissance du présent rapport et modifie le Règlement no 2003-527 sur la conservation et le déclassement des dossiers, afin d’y intégrer les révisions à l’annexe A énoncées dans le présent rapport et décrites de façon plus précise dans le document 3.

 

C.

BUDGETS DE 2016 POUR LES ZONE D’AMÉLIORATION COMMERCIAL ET L’ADMINISTRATION DU MAIL DE LA RUE SPARKS

 

RECOMMANDATIONS DU COMITÉ
1.         Que le Conseil municipal approuve : Les budgets de 2016  tels que présentés dans le document no 1, pour les organismes suivants :
•           ZAC de la rue Bank
•           ZAC de Barrhaven
•           ZAC de Bells Corners
•           ZAC du marché Byward
•           ZAC de Carp
•           ZAC du corridor Carp
•           ZAC de Glebe
•           ZAC du parc d’affaires de Kanata Nord
•           ZAC de Manotick
•           ZAC de la rue Preston
•           ZAC d'Orléans
•           ZAC de la rue Rideau (centre-ville)
•           ZAC du village de Somerset
•           ZAC de la rue Somerset Chinatown
•           ZAC de la rue Sparks
•           Administration du mail de la rue Sparks
•           ZAC de Vanier
•           ZAC de Wellington
•           ZAC du village de Westboro
2.         Que le Conseil adopte les règlements municipaux concernant le prélèvement d’impôts visant les ZAC et le règlement du mail de la rue Sparks visant l’administration des ZAC et du mail énoncés dans la recommandation 1 lorsque les coefficients fiscaux de 2016 seront approuvés par le Conseil.

 


D.

RAPPORT SUR LES DEPENSES BUDGETAIRES CONFORMEMENT AU REGLEMENT DE L’ONTARIO 284/09

 

RECOMMANDATION DU COMITÉ
Que le Conseil adopte ce rapport.

 

E.

RENOUVELLEMENT DE BAIL – 370, RUE CATHERINE – SIÈGE CENTRAL DES SERVICES SOCIAUX

 

RECOMMANDATION DU COMITÉ
Que le Conseil délègue au directeur du Bureau des partenariats et du développement en immobilier le pouvoir de négocier des loyers selon le marché et de procéder au renouvellement du bail de location du 370, rue Catherine, pour une période de cinq ans et conformément aux modalités énoncées dans le présent rapport.

 

F.

RENOUVELLEMENT DE BAIL – 2339, CHEMIN OGILVIE, CENTRE DE SERVICES SOCIAUX EST

 

RECOMMANDATIONS DU COMITÉ
Que le Conseil :
1.         Approuve le renouvellement du bail du Centre de services sociaux Est pour une période supplémentaire de cinq ans débutant le 15 juillet 2016 et prenant fin le 14 juillet 2021. Le montant total de la location pour cette période est estimé à 5 002 094 $, TVH en sus;
2.         Délègue au directeur du Bureau des partenariats et du développement en immobilier le pouvoir de signer le bail, conformément aux modalités décrites dans le présent rapport.

 

G.

EXPROPRIATION DE TERRAINS, RÉFECTION DE LA RUE MAIN

 

RECOMMANDATION DU COMITÉ

Que le Conseil approuve le règlement municipal faisant l’objet du document 1, autorisant la Ville à procéder à l’expropriation des propriétés décrites dans le document 2 aux fins du Projet de renouvellement Main Street, comme indiqué dans le présent rapport et conformément à la Loi sur l'expropriation.

 


 

H.

SUPPRESSION DU DROIT DE L’ANCIEN PROPRIÉTAIRE D’ACHETER, EN VERTU DE L’ARTICLE 42 DE LA LOI SUR L’EXPROPRIATION, UNE PARTIE DU 1150, RUE RAINBOW ET DÉCLARATION DU BIEN-FONDS VISÉ COMME EXCÉDENTAIRE POUR LES BESOINS DE LA VILLE

 

RECOMMANDATIONS DU COMITÉ
Que le Conseil :

1.            Supprime le droit de l’ancien propriétaire d’acheter les propriétés suivantes en vertu de l’article 42 de la Loi sur l’expropriation :

une partie du bien-fonds vacant dont la désignation municipale est le 1150, rue Rainbow décrite comme étant une partie du lot 15, concession 1, donnant sur la rivière des Outaouais, dans l’ancien canton de Gloucester, désignée comme partie 5 sur le plan d’expropriation NS93389 et indiquée comme parcelle 1 sur le document 1 ci-joint; et

2.         Déclare le bien-fonds décrit à la recommandation 1 excédentaire pour les besoins de la Ville.

 


 

RAPPORT NO 13 DU COMITÉ DES TRANSPORTS

 

I.

RAPPORT ANNUEL DE 2015 DU SERVICE DU STATIONNEMENT

 

RECOMMANDATION DU COMITÉ
Que le Conseil prenne connaissance du rapport annuel de 2015 du service du stationnement.

 

J.

ÉTUDE D’ÉVALUATION ENVIRONNEMENTALE SUR L’AMÉLIORATION DES INSTALLATIONS DE TRANSPORT EN COMMUN ET DES INTERSECTIONS SUR LE BOULEVARD SAINT-LAURENT - RECOMMANDATIONS

 

RECOMMANDATIONS DU COMITÉ
Que le Conseil :
1.         Approuve la conception fonctionnelle relative à l’Étude d’évaluation environnementale sur l’amélioration des installations de transport en commun et des intersections sur le boulevard Saint-Laurent, comme il est précisé dans le présent rapport et dans les documents d’accompagnement;
2.         Demande au directeur général des Services d’infrastructure de finaliser le rapport d’étude environnementale et de le publier pour une période d’examen public de 30 jours, conformément à l’annexe C du processus d’évaluation environnementale municipale de portée générale de l’Ontario.

 

MOTION PORTANT ADOPTION DE RAPPORTS 

 

(Conseillers R. Brockington et J. Leiper)  

 

MOTIONS DONT AVIS A ÉTÉ DONNÉ ANTÉRIEUREMENT 

MOTION

Motion du le conseiller M. Fleury

Appuyée par le maire J. Watson

ATTENDU QUE les frais et intérêts s’appliquant à un prêt sur salaire peuvent être plusieurs fois supérieurs à son montant;

ATTENDU QUE des établissements de prêt sur salaire abondent dans des secteurs où résident des personnes financièrement vulnérables;

ATTENDU QUE l’article 10 de la Loi de 2001 sur les municipalités autorise la Ville à adopter des règlements relativement au bien-être économique, social et environnemental de la municipalité, à la santé, à la sécurité et au bien-être des personnes et à la protection des personnes et des biens, y compris la protection des consommateurs;

ATTENDU QUE les articles 10 et 151 de la Loi de 2001 sur les municipalités permettent également aux municipalités de prévoir un régime de permis à l’égard d’une entreprise;

ATTENDU QUE la Ville de Hamilton a adopté le 24 février 2016 une modification à son règlement sur les permis relativement aux établissements de prêt sur salaire;

ATTENDU QUE la Loi de 2001 sur les municipalités n’autorise pas les municipalités à prévoir des restrictions sur l’emplacement des établissements ou leur nombre, sauf pour les établissements de divertissement pour adultes;

PAR CONSÉQUENT, IL EST RÉSOLU QUE le Conseil municipal :

1.         a)         demande à la Direction des services des règlements municipaux             de présenter un rapport au Comité des services communautaires             et de protection et au Conseil recommandant une modification au             Règlement harmonisé sur les permis afin que les établissements             de prêt sur salaire soient assujettis à un régime de permis d’ici la             fin du premier trimestre de 2017;

b)        demande au personnel de consulter tous les intervenants avant la soumission du rapport et d’y présenter les résultats de la consultation;

2.         demande au gouvernement provincial d’adopter une modification à la Loi de 2001 sur les municipalités afin qu’elle permette aux municipalités de voter un règlement sur les permis visant à mettre en place des restrictions sur l’emplacement des établissements de prêt sur salaire et leur nombre.

IL EST EN OUTRE RÉSOLU QUE cette motion soit acheminée à la Fédération canadienne des municipalités (FCM), l’Association des municipalités de l’Ontario (AMO), au Large Urban Mayors' Caucus of Ontario (LUMCO) et au Caucus des maires des grandes villes.

 

MOTION

Motion du le conseiller S. Qadri

Appuyée par le conseiller A. Hubley

ATTENDU QUE la Société canadienne des postes désigne le secteur délimité par le plan de conception communautaire de Fernbank ainsi que les terrains situés au nord comme faisant partie de Kanata;

ATTENDU QUE ces secteurs sont situés dans le quartier 6 – Stittsville, et que la nécessité d’indiquer que le destinataire réside à Kanata sème la confusion chez les résidents et leurs correspondants;

IL EST RÉSOLU QUE la Ville d’Ottawa demande à la Société canadienne des postes de désigner les propriétés situées dans le secteur indiqué sur la carte ci-jointe comme faisant partie de Stittsville et de modifier leur adresse postale en conséquence, laquelle contiendrait toujours la ville d’Ottawa;

IL EST EN OUTRE RÉSOLU QUE l’on envoie une copie de la présente motion à la Société canadienne des postes, à l’honorable Judy M. Foote, la ministre responsable de la Société, ainsi qu’à la Société d’évaluation foncière des municipalités.

 


 

MOTIONS EXIGEANT LA SUSPENSION DES RÈGLES DE PROCÉDURE 

 

AVIS DE MOTION (POUR EXAMEN À UNE RÉUNION SUBSÉQUENTE)  

 

MOTION PORTANT PRÉSENTATION DE RÈGLEMENTS 

 

 

(Conseillers R. Brockington et J. Leiper)  

 

 

TROIS LECTURES 

 

 

a)        Règlement de la Ville d’Ottawa modifiant des règlements régissant les égouts et réseaux d’égouts, à savoir le Règlement no 130-1996 de l’ancienne Ville de Gloucester et les Règlements nos 20-90 et 21-90 de l’ancienne Ville de Nepean.
b)        Règlement de la Ville d’Ottawa visant à modifier le Règlement no 2008-250 afin de changer le zonage d’une partie des terrains ayant pour désignation municipale le 3508, chemin Greenbank et les 3853 et 3900, chemin Cambrian.
c)         Règlement de la Ville d’Ottawa modifiant le Règlement no 2014-220 concernant les droits pour les demandes et les permis de construction.
d)        Règlement de la Ville d’Ottawa modifiant le Règlement no 2004-60 afin d’affecter des agents d’application des règlements municipaux au contrôle du stationnement sur les propriétés privées.
e)        Règlement de la Ville d’Ottawa modifiant le Règlement no 2003-69 concernant les droits pour les rapports de conformité fournis par la Direction des services du Code du bâtiment.
f)         Règlement de la Ville d’Ottawa soustrayant à la réglementation relative aux parties de lots de terrain certaines parcelles du plan 4M 1443 situées aux 515, 517, 519 et 521, chemin Egret.
g)        Règlement de la Ville d’Ottawa modifiant le Règlement no 2008-250 afin de changer le zonage d’une partie du terrain ayant pour désignation municipale le 6069, chemin Fourth Line.
h)        Règlement de la Ville d’Ottawa abrogeant le Règlement no 2016-41 et modifiant le Règlement no 2007-452 sur le programme de report de taxes au chapitre des droits exigibles.
i)          Règlement de la Ville d’Ottawa approuvant l’expropriation de terrains dans la ville d’Ottawa, aux fins du projet de réfection de la rue Main, tel qu’il est décrit plus précisément à l’annexe « 1 » dudit règlement.

 

RÈGLEMENT DE RATIFICATION 

 

(Conseillers R. Brockington et J. Leiper)

 

 

DEMANDES DE RENSEIGNEMENTS  

 

LEVÉE DE LA SÉANCE 

 

(Conseillers R. Brockington et J. Leiper)  

 



Des services d’interprétation simultanée des réunions sont offerts. Veuillez vous informer auprès du préposé à la réception.

Des formats accessibles et des aides à la communication sont disponibles sur demande. 

 

AVIS

Le public ne peut pas assister aux discussions ni aux séances sur les points à l’ordre du jour débattus à huis clos.  Toute personne a le droit de demander une enquête indépendante sur la légitimité de régler certaines questions au cours d’une séance à huis clos. Pour ce faire, le demandeur peut se procurer, sans frais, le formulaire approprié en visitant le site Web de la Ville ou en s’adressant en personne au président de la réunion en question. Les demandes demeurent confidentielles dans l’attente du rapport éventuel de l’enquêteur et n’entraînent aucuns frais pour le demandeur.